Premier épervier
A 16 heures, première attaque de l'épervier piquant tout droit vers mon affût. Moins d'une seconde et il disparaît déjà au-dessus de mon filet de camouflage. J'ai eu aussi peur que les passereaux qui se nourrissaient sur les bords du bassin.
16 heures 30, deuxième tentative et nouvel échec. L'épervier ne réussit sa capture qu'une attaque sur dix. Son appétit n'a d'égal que sa persévérance.
Avant de reprendre son cap vers d'autres proies, il (ou elle car la femelle se distingue du mâle par sa taille plus imposante et l'absence de brun-roux sur le torse mais le brun sur les joues pencherait pour un mâle, donc sexe incertain), donc il ou elle se repose enfin assez longtemps pour une séance photo mais juste derrière un des perchoirs qui lui étaient pourtant tous ouverts ...